La ministre bruxelloise de la Mobilité Elke Van den Brandt (Groen) a proposé de mettre en place un péage urbain à Bruxelles. « Une mesure anti-sociale, réagit la députée fédérale PTB Maria Vindevoghel. La facture pourrait grimper au-delà de 1 000€ par an pour certains travailleurs. C’est inacceptable. Il y a quelques mois, on applaudissait les héros qui ont fait tourner la société pendant la crise et, aujourd’hui, le gouvernement bruxellois veut leur faire payer la facture avec ce projet. »
L’idée de péage urbain est remise sur la table par le gouvernement Vervoort à travers une taxe, qui peut s’élever jusqu’à 3 euros par trajet, sur les automobilistes roulant en heure de pointe sur le territoire de la Région bruxelloise. « Après la Zone de Basses Émissions, voici encore une mesure qui fait payer les travailleurs », réagit Françoise De Smedt, cheffe du groupe PTB au Parlement bruxellois.
Le gouvernement bruxellois a annoncé à travers la voix de sa ministre de la Mobilité Elke Van Den Brandt (Groen) vouloir instaurer une taxe kilométrique à Bruxelles. Voilà donc la première mesure phare que veut mettre en oeuvre le "progressiste" gouvernement bruxellois : une taxe injuste et inefficace. Car c'est bien de cela qu'ils s'agit...
Le gouvernement bruxellois (PS-Ecolo-Défi-s.pa-Groen-Open vld) a annoncé à travers la voix de la ministre Groen de la Mobilité Elke Van Den Brandt vouloir instaurer une taxe kilométrique à Bruxelles. « Voilà donc la première mesure phare que veut mettre en œuvre le « progressiste » gouvernement bruxellois : une taxe injuste et inefficace », dénonce Françoise De Smedt, cheffe de groupe PTB au Parlement bruxellois.
Nouvel épisode dans la rage taxatoire des partis de droite : la taxe kilométrique fait son retour. L’idée a été relancée par le gouvernement flamand et son ministre de la Mobilité Ben Weyts (N-VA). Sous prétexte de lutter contre les bouchons, il s’agit surtout d’aller chercher l’argent dans la poche de Monsieur et Madame Tout-le-monde. Pour le PTB, il n’en est pas question.